Son nom parle de lui-même, le test de paternité est une analyse médicale effectuée dans le but d’affirmer ou de contester le lien de paternité qui existe entre un père et son présumé enfant. Si cette pratique est libérale dans certains pays d’Europe, en France, la donne est totalement différente. La loi française ne reconnait le test de paternité que dans le cadre juridique et celui-ci doit respecter une démarche préétablit.
Procéder à une demande
Selon la loi française, le juge et le juge seul, a le droit d’autoriser l’exécution d’un test de paternité. Pour cela, il faudrait préalablement rédiger une demande en bonne et due forme. Cette demande devra contenir tous les détails de l’affaire en question, notamment, le but de la demande, les circonstances des celle-ci et les principaux concernés entre autres. Cependant si vous résidez hors du territoire français, vous pouvez commander votre test de paternité sur ce site en un clic.
Avoir le consentement des personnes concernées
Autre condition, un test n’est valide que si les personnes concernées, à savoir le père et le fils présumé, ont donné leur consentement. C’est dire que peu importe le résultat ou l’aboutissement du test, les personnes concernées doivent donner leur autorisations, preuve à l’appui. Ceux-ci devront par conséquent rédiger signer un ensemble de document, preuve de leur consentement. Il s’agit d’un impératif sans lequel, la demande sera immédiatement rejetée. La loi française prime le respect des droits de l’homme dans toutes les pratiques de la vie au quotidien.
Place au prélèvement
Ce n’est qu’après avoir reçu l’autorisation du juge du tribunal en charge de l’affaire que le test proprement dit, peut être exécuté. Cela passe par le prélèvement sanguin des personnes concernées. Prélèvements qui par la suite seront comparés en vue de déterminer une compatibilité ou non. Cet examen doit par ailleurs être réalisé dans un centre médical respectant toutes les mesures juridiques et confidentielles imposées.